La culture de l'échec
1 JOUR, KEYNOTE 20% , WORKSHOP 80 %
La culture bancaire est par essence marquée par une aversion au risque, tandis que les modèles d’entreprises digitales, par définition cherchent à s’adapter en permanence au travers notamment de la boucle « tester-mesurer-apprendre ». Un paradigme difficile à aborder pour les entreprises, mais surtout pour les humains qui y travaillent.
Ce workshop donne l’occasion de mesurer le changement culturel à mener et de se mettre en situation pur mieux appréhender l’échec.
Keynote (s) :
- Un concept évident sur le papier mais totalement contre-nature en pratique
- Le lien entre la peur de l’erreur et le lâcher prise
- L’état d’esprit des grands champions : le « Growth mindset » de Carol Dweck
- L’apport de l’improvisation théâtrale : la capacité à oser théorisée et enseignée dans les écoles de théâtre depuis des siècles.
- Les rituels d’équipe qui valorisent l’échec : le réflexe Feedback
Objectifs du workshop :
- Dépasser les bonnes résolutions et comprendre par l’action pourquoi nos émotions nous poussent à la frilosité et quels sont les leviers individuels et collectifs pour activer le lâcher prise ?
- S’entrainer via des exercices décalés et des mises en situations professionnelles, afin de créer non seulement de nouvelles croyances mais surtout de nouveaux réflexes face à l’échec.
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BANKLESS BANKING : DE NOUVELLES FONDATIONS POUR LA BANQUE
Bankless Banking décrit les changements auxquels le secteur bancaire est actuellement confronté, et donne des pistes pour accompagner (voire devancer) la mutation en cours, plutôt que de la subir. Le titre, volontairement provocateur, ne fait pas l’hypothèse de la disparition des acteurs bancaires, loin de là. Il insiste plutôt sur la tendance amorcée par l’évolution du comportement des clients : les services financiers doivent désormais s'inscrire dans un contexte d'utilisation pour être là au bon endroit, au bon moment, jusqu’à devenir totalement « invisibles », amenant le client à en bénéficier sans se soucier de qui les fournit. C’est l’idée de la « banque sans banque ».
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